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Les mutations de la coopération belge au développement au prisme des ONG

Courrier hebdomadaire n° 2363,

par J. Contor, 46 p., 2017

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Référence : CH2363

ISBN : 978-2-87075-181-7


3,70 € TTC

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Depuis 2015, la coopération belge au développement est engagée dans un important mouvement de réforme. Initiée par le ministre de la Coopération au développement du gouvernement Michel (N-VA/MR/CD&V/Open VLD), Alexander De Croo (Open VLD), cette vaste entreprise vise à aligner davantage la coopération belge sur les engagements internationaux pris par la Belgique, à recentrer ses actions et à réviser les dispositifs publics et associatifs chargés de sa mise en œuvre.

Cette restructuration cible principalement deux catégories d’intervenants. D’une part, la principale composante gouvernementale de la coopération au développement : la Coopération technique belge (CTB). Celle-ci a accru son autonomie financière et opérationnelle vis-à-vis de l’État belge et est devenue l’Agence belge de développement (Enabel). D’autre part, le secteur des ONG belges de développement. Acteur majeur de la coopération, celui-ci connaît depuis plusieurs années une profonde mutation, dont l’actuelle réforme constitue à la fois un indice emblématique et un élément de renforcement. Il s’agit pour les ONG d’intensifier leur degré de professionnalisation, de managérialisation et de gestion. La performance est en effet devenue l’indicateur-clé permettant aux ONG d’être accréditées et, donc, d’avoir accès aux financements publics (et privés). C’est pour elles une question de survie.

Ce Courrier hebdomadaire dresse un état des lieux de la coopération belge au développement, en pointant ses évolutions, ses enjeux et ses acteurs. Si une attention toute particulière est réservée aux ONG, l’étude traite de l’ensemble des intervenants, qu’ils soient gouvernementaux ou non : la Direction générale du Développement (DGD, au sein du SPF Affaires étrangères, Commerce extérieur et Coopération au développement), Enabel, le Service de l’évaluation spéciale (SES) et la Société belge d’investissement pour les pays en développement (BIO-Invest), ainsi que les établissements d’enseignement supérieur, les institutions scientifiques, les instituts de formation, les villes et communes, et les syndicats.

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