Nombreuses sont les organisations qui ont modernisé leur nom en abandonnant la référence au christianisme ou au catholicisme, car elle leur semblait désormais dépassée ou pas suffisamment inclusive. En revanche, les écoles catholiques ne suivent pas ce mouvement. Le secteur de l’enseignement est même par excellence celui qui demeure « pilarisé » sur le plan structurel, alors même que le facteur confessionnel ne constitue plus un facteur d’adhésion déterminant. À partir du cas de l’enseignement fondamental et secondaire, on peut se demander quelles sont les implications de cette situation dans le contexte plus global de la « pilarisation » et de la « dépilarisation » en Belgique.
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