Les commémorations de la Grande Guerre s’achèvent. L’anniversaire de ce conflit est devenu assez consensuel : la sympathie pour toutes les victimes a remplacé le patriotisme d’autrefois. Celui-ci avait conduit à une véritable frénésie dans la construction de monuments à la gloire des soldats tombés. Hormis l’une ou l’autre expression trop agressive à l’égard des ennemis d’hier qu’il a fallu gommer, ces monuments demeurent paisiblement à leur place dans le paysage.
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