Communément, les médias regroupent un certain nombre de formations politiques – en Belgique, une bonne quarantaine – sous le vocable de « petits partis ». Une telle dénomination n’est pas ignorée par la science politique, mais cette discipline en souligne l’ambiguïté et l’imprécision. Notamment parce que les partis concernés forment une galaxie très diverse. Cette @nalyse examine les résultats obtenus lors des élections européennes, fédérales, régionales et communautaires tenues le 25 mai 2014 en Belgique par les formations ne disposant pas d’élu au Parlement fédéral au moment de la dissolution des Chambres intervenue un mois plus tôt.
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