Il est entendu que la Belgique est une terre de compromis, et elle en a longtemps été fière. Aujourd’hui, pourtant, les compromis ont plutôt mauvaise presse, ou sont considérés, au mieux, comme un mal nécessaire. L’ambivalence domine à leur égard, tant il est difficile de savoir s’il faut les accepter ou les déplorer.
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