« Nous ne serons pas le mauvais élève… »

Vouloir à tout prix être bon élève de la classe est devenu le réflexe des pouvoirs publics. Pour de multiples « bonnes » raisons. De peur de passer pour de mauvais Flamands d’un côté ; pour ne pas apparaître comme ceux qui auront cédé face aux Flamands de l’autre ; pour se montrer ferme vis-à-vis des chômeurs, toujours face aux Flamands ; ou encore pour accélérer le retour à l’équilibre budgétaire, face aux voisins néerlandais, français ou allemands… Mais à force de vouloir être les meilleurs selon les normes dominantes, les politiques posent-ils toujours les bons choix ?

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